Introduction
Que ce soit en République Démocratique du Congo ou en Afrique de façon générale, l’inclusivité dans l’éducation est une chose prônée par tout le monde (dirigeants, parents, etc.) ; mais qui se bute à des embûches lorsque vient le moment de la mise en pratique de cette dernière et il y a des schémas répétitifs qui sont observables dans la différence de privilèges des enfants dans le ménage (ou en dehors) selon leurs sexes (privilège du masculin sur le féminin), la différence des privilèges des enfants selon leur morphologie (handicap physique ou particularités) ainsi selon leurs états mentaux (handicap mental ou particularités).
Dans cet article, nous allons relever les défis exacts auxquels l’éducation inclusive fait face en Afrique ainsi que les meilleures solutions pouvant aider à pérenniser ces solutions.
Développement
Comme nous venons de le mentionner dans la partie introductive, les enfants au sein des familles Africaines reçoivent des traitements différentiels selon qu’ils soient garçons ou filles, handicapé physique et/ou mental, et bien que beaucoup de pays africains soient en voie d’éradiquer les problèmes d’inclusivité et possèdent depuis plus de deux décennies des intellectuels de toutes caractéristiques et à tous les niveaux décisionnels du pays, cette problématique persiste encore de nos jours.
Voici quelques problèmes relevés ainsi que les solutions plus ou moins innovantes que l’Organisme sans But Lucratif Sauvons l’Enfance en Difficulté (SEED) s’est proposé de mettre en place pour remédier à cet épineux problème qui empêche les enfants de jouir de leur droit inaliénable qu’est l’éducation.
Problèmes N°1
Le genre : en Afrique, la majorité des ménages rencontrent des sérieux problèmes financiers lorsque vient le moment de subvenir aux besoins fondamentaux de leurs enfants, en l’occurrence l’éducation; de ce fait, nous observons un fait répétitif : ‘les garçons sont priorisés et les filles sont relégués au second plan’ et cela a pour effet de créer des enfants en difficulté au sein des ménages voire en société.
Solution : la construction d’écoles qui accueilleront les enfants non scolarisés (généralement les filles) à prix sensiblement réduit pour ne pas perpétuer le cycle des filles qui se retrouvent en grand nombre au sein de la société mais moins scolarisées favorisant ainsi la dépravation des mœurs en société (ex. la prostitution) une fois ces filles adultes.
Problèmes N°2
Handicaps et particularités : contrairement aux pays développés, la majorité des sociétés africaines connaissent des difficultés quant à la manière de percevoir et de traiter les enfants atteint de handicap physique, mental ou des particularités (hypersensibilité, bipolarité, autisme, etc.) ; ces enfants aux différences très négligeables voire parfois bénéfiques dans certains cas sont mis en marge de l’éducation car leurs états sont souvent mal interprétés et généralement jamais diagnostiqués.
Solution : l’Organisme sans But Lucratif (OBL) Sauvons l’Enfance en Difficulté (SEED) compte parmi ces projets à long termes : ‘la construction d’écoles spécialisées’, pour les enfants aux caractéristiques physique particulières (ex. aveugles, boiteux, etc.) ainsi que les enfants aux caractéristiques mentales particulières (ex. trisomie, autisme, bipolarité, etc.) pour les inciter à donner le meilleur d’eux-mêmes et nous savons pertinemment bien qu’il y a du génie en chaque personne lorsque cette dernière exploite son plein potentiel dans un environnement stimulant et inclusif.
Conclusion
Pour clore notre article d’aujourd’hui, nous tenons à féliciter premièrement les pays africains qui ont tapé du poing sur la table pour mettre fin aux phénomènes de privilèges basés sur le sexe ou sur les caractéristiques physiques et tenons à faire la promesse de venir au secours des enfants se trouvant dans des telles situations autant que nous permettrons nos moyens ainsi que nos différents partenariats.
Crédit photo : Afric'Educ
